Just a Kiss l'afficheRubrique des films sur l'Inde et venus d'IndeCasim Khan, immigré pakistanais de la deuxième génération, travaille comme DJ dans une discothèque de Glasgow et rêve de monter son propre club. Ses parents, Tariq et Sadia, musulmans pratiquants, ont décidé de le marier à sa cousine, Jamine, dont ils attendent l'arrivée en Ecosse. Leur projet semble bien compromis quand Casim s'éprend de Roisin. Jeune enseignante, Roisin est différente de toutes les filles que Casim a fréquentées jusqu'alors. Elle n'est pas seulement belle et intelligente, mais aussi volontaire, indépendante et catholique. 

GB - VF & VOSTF - 1h43 - 1:85 - Dolby SRD



Disponible en DVD version française ici

Distribution
Atta Yaqub : Casim Khan
Eva Birthistle : Roisin Hanlon
Ahmad Riaz : Tariq Khan
Shamshad Akhtar : Sadia Khan
Shabana Akhtar Bakhsh : Tahara Khan (Shabana Bakhsh)
Ghizala Avan : Rukhsana Khan
David McKay : Wee Roddie
Raymond Mearns : Big Roddie
Gary Lewis : Danny
Shy Ramsan : Hamid
Emma Friel : Annie
Karen Fraser : Elsie
John Yule : Headmaster
Ruth McGhie : Mary Nolan
Father David Wallace : Father David

Équipe technique
Réalisateur : Ken Loach
Scénario : Paul Laverty
Producteur exécutif : Ulrich Felsberg
Productrice : Rebecca O'Brien
Musique : George Fenton 
Photo : Barry Ackroyd
Montage : Jonathan Morris 
Casting : Kahleen Crawford 
Costume : Carole K. Millar
Distributeur France : Diaphana
 
Tous les titres internationaux
Apenas um Beijo (Brésil)
Et Dristigt kys (Danemark)
Sólo un beso / Un beso (Espagne)
Hellä suudelma (Finlande)
Just a kiss (France)
Ae Fond Kiss (GB) (titre original)
Et Besværlig kyss (Norvége)
En Öm kyss (Suéde)
Duygudan da öte (Turquie)

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Fiction de Kamal Amrohi, 1972, 125’, couleur, VO hindi – ourdou, sous-titrage français
À la fin du XIXe siècle dans un état princier du Punjab, Nargis, une danseuse Tawaef, courtisane de haut rang, espère échapper à sa condition en épousant son amant, un aristocrate. Mais la famille de celui-ci la rejette et elle meurt en mettant au monde leur fille, Sahibjaan. Élevée par sa tante, Sahibjaan apprend l’art du chant et de la danse. À son tour, elle tombe amoureuse d’un jeune homme de bonne famille. Ses origines d’ascendance noble par son père la sauveront-elle de sa condition ?

Dans ce film phare du cinéma populaire indien, Meena Kumari, grande star des années 50 et 60, incarne son dernier rôle à l’écran.
Les paroles et poèmes sont signés de grands noms tels Kaifi Azmi. La musique de Naushad fait partie du répertoire indien.

Pyaasa AfficheVijay est un pauvre poète rejeté par sa famille. Il retrouve Meena son amour de jeunesse, mariée a un célèbre éditeur. Ce dernier l’engage, puis le renvoie en apprenant leur ancienne liaison. Vijay sombre dans l’alcoolisme. Témoin meurtri du malheur des autres, le poète exprime avec douleur le désenchantement d’une société indienne en pleine construction de son identité, juste après l’indépendance. Il rencontre une âme sœur en Gulab, une prostituée qui admire sa poésie. Conscience sociale et romantisme sont exprimés par des images lyriques et poétiques, soutenues par des musiques inoubliables, faisant de Pyassa l’un des fleurons de cet âge d’or du cinéma indien.

Fiction de
Guru Dutt,

Date de sortie : 19 février 1957
146’ (139' chez Carlotta), N&B, VO hindi, sous-titrage français

Distribution
Mala Sinha : Meena
Guru Dutt : Vijay
Waheeda Rehman : Gulabo
Rehman : M. Ghosh
Johnny Walker : Abdul Sattar
Kumkum (Kum Kum) : Juhi
Leela Mishra (Leela Misra) : Mère de Vijay
Mehmood : Frère de Vijay
Tun Tun : Pushplata
Moni Chatterjee (Moni Chatterji) : Chatterjee
Radheshyam
Maya Dass
Shyam

Équipe technique
Réalisateur : Guru Dutt 
Producteur : Guru Dutt 
Dialogues : Abrar Alvi
Chansons et poèmes : Sahir Ludhianvi
Musique : S.D. Burman
Interprètes des chansons : Geeta Dutt Mohd. Rafi Hemant Kumar
Directeur artistique : Biren Naag
Directeur de la photographie : V.K. Murthy, W.I.C.A.
Montage : Y.G. Chawhan
Costumes : Bhanu Mati
Maquillage : Babu Rao
Chorégraphie : Surya Kumar
Enregistrement des chansons : Mukul Bose
Une production Guru Dutt Films Private Ltd.

Fiction de Ismail Merchant, 1993, 125’, couleur, VO ourdou - hindi, sous-titrage français.
Dans une petite ville indienne du Madhya Pradesh), Deven, professeur de hindi, est passionné de poésie ourdou et rêve de publier Nur, un fameux poète ourdou de Bhopal. Non sans mal, il parvient à se procurer un magnétophone. Nur passe son temps à boire, entouré de jeunes gens qui se moquent de Deven et de ses deux épouses dont la plus jeune se targue d’écrire aussi de la poésie. Il mène la vie dure à Deven avant de reconnaître en lui celui à qui il va confier ses écrits, son legs à préserver.
Cette fiction inspirée par la vie et l’oeuvre du poète indien Faiz Ahmed Faiz, est l’un des rares films réalisés par Ismail Merchant qui rend un émouvant hommage à la culture ourdou en Inde. D’après une nouvelle de Anita Desai, poèmes authentiques de Faiz Ahmed Faiz, avec Shashi Kapoor, Shabana Azmi et Om Puri.

Fiction de Satyajit Ray, 1970, 110’, n&b, d’après le roman de Sunil Gangopadhyay, VO bengali, sous-titrage français.
Siddharta est étudiant en médecine à Calcutta. À la mort de son père, il se voit contraint d’interrompre ses études pour travailler. C’est le début d’une série de déboires dans la recherche d’un emploi et de désillusions. Ce film, l’un des plus sombres de Satyajit Ray, dévoile d’autres visages d’une Inde urbaine contemporaine, et dénonce la frustration et le désespoir d’une jeunesse au chômage, l’immoralité des riches et leur quête de tous les plaisirs, l’érosion et la chute des valeurs dans un monde de plus en plus compétitif.

Fiction de Satyajit Ray, 1969, 115’, n&b, d’après le roman de Sunil Gangopadhyay, VO bengali, sous-titrage français.
Quatre amis de Calcutta partent quelques jours dans un minuscule village du Bihar. Ils s’installent dans un bungalow où ils décident de s’amuser sans se soucier des conséquences de leurs actes. Rencontres inattendues, jeux de société et de séduction, mais avant tout rencontre avec soi-même. Avec humour et gravité, Satyajit Ray enregistre les réactions de ces quatre amis de la bourgeoisie de Calcutta au contact de la nature.
Fiction de Rajan Khosa, 1998, 87’, couleur, VO hindi sous-titrage français.
De nos jours à Delhi, Pallavi, un jeune femme, étudie le chant classique auprès de sa mère, une artiste reconnue. À la mort de celle-ci, Pallavi perd sa voix. Commence alors pour elle une quête qui l’amène jusqu’au gourou de sa mère. Évoquant la problématique de la tradition et de la modernité, le film rend hommage à la transmission sacrée de la musique de maître à disciple, de parent à enfant, une tradition qui tente de survivre aux tentations de l’industrie musicale.

Avec Kitu Gidwani dans le rôle principal. Prix de la meilleure actrice au Festival des 3 Continents en 1997 et du British Cinema Guardian de Londres en 1997.

Fiction de Ketan Mehta, 1992, 95’, couleur, d’après Madame Bovary de Gustave Flaubert, VO hindi et anglais, sous-titrage français.
Maya, une jeune femme au quotidien apparemment banal, entre dans un voyage intérieur énigmatique où elle explore sa relation aux hommes qu’elle a aimés. Cette introspection qui la conduit avec grâce et gravité vers son destin serait-elle une illusion enchanteresse ?
Le film est une originale adaptation de Madame Bovary signée par l’écrivain et poète Sitanshu Yashaschandra et Ketan Mehta, l’un des principaux réalisateurs de la nouvelle vague indienne. Avec Deepa Sahi dans le rôle de Maya, Raj Babaar, Shah Rukh Khan, Farooq Shaikh, musique Hridaynath Mangeshkar, paroles et poésies de Gulzar, chansons interprétées par Lata Mangeshkar.

L'Inde fut l'un des premiers pays au monde à se libérer au XXe siècle du joug colonial. Cette libération a entrainé la partition et la naissance du Pakistan, puis en 1971, du Bangladesh. Presque un million de personnes moururent et plusieurs millions furent déracinés et durent se réinstaller, en quelques années seulement, à des centaines de kilomètres de leur habitation d'origine. La partition représenta l'un des plus grands déplacements de populations de  l'histoire de l'humanité. "Ombre et Pénombre" est à la fois une peinture historique et sociale réaliste, et le recit de plusieurs destins différents mais liés entre eux et condamnés, à l'abandon de leurs rêves, à cause de cette pression sociale exercée par leur groupe d'appartenance. "Ombre et Pénombre" parle de deux familles - l'une hindoue, chassée de Lahore, et l'autre musulman qui décide de rester en Inde- destin et amours croisés... 

Fiche Technique
Titre indien : Karvaan
Titre international : Shadow in the Dark
Fiction : 98' - 1999
Version originale : hindi - vostfr
Format : 35mm

Auteur-réalisateur Pankaj Butalia
Producteur Jacques Bidou
Productions JBA Production, Vital Films, National Film Development
Image Ranjan Palit
Son Indrajit Neogi

Distribution
Kaushakya Gidwani
Naseeruddin Shah
Ikhalaque Khan
Srivardhan Truiverdi
Subrata Dutta
Mandeep
Loveleen Tandon
Mandakini Goswami

On dit souvent que le cinéma indien est kitchissime mais il est des cinémas asiatiques qui le surpassent de loin. Pour vous, nous avons débusqué le meilleur du pire en provenance directe des Philippines où l'on sait produire des scènes de karaté à vous couper le souffle... De rire ! Nous vous mettons, par la même occasion, au défi de trouver mieux dans votre vidéothèque Bolly et Kolly réunies et si vous y parvenez alors ce sera le cadeau assuré ! 

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Catégorie regroupant les distributeurs (France et étranger) et producteurs (France et étranger) de films indiens ou en relation avec l'Inde.