Dans un monde ou gratuité s'oppose frontalement à profit, saluons l'initiative de Nina Paley, la réalisatrice du film d'animation Sita Sings the Blues, où la grande épopée du Ramayana est expliquée avec humour. Récompensée en 2008 par le Cristal du meilleur long métrage au Festival d'Annecy, elle vient de décider de mettre son film en licence Creative Commons qui permet à chacun de le visualiser gratuitement en version intégrale ! Nous pouvons donc, de ce fait vous proposer de le télécharger à Archive.org. Nous espérons que cette démarche est annonciatrice d'une manière plus altruiste de partager les arts et la création et vous souhaitons de passer un très bon moment avec Sita et son blues. Pour obtenir des précisions sur l'inclusion des sous-titres français, cliquez sur lire la suite...
Raju est un villageois naïf qui vient à Bombay pour y tenter sa chance. Cherchant à s'en sortir par tous les moyens ; il y fait diverses rencontres et bientôt son cœur oscille entre la pure Vidya, une modeste institutrice, et Maya, une femme de mauvaise vie qui lui offre un monde de crime et de corruption. Tournée dans les studios RK, cette fable morale entre le bien et le mal est une comédie romantique menée tambour battant. Le personnage à la Chaplin créé par Raj Kapoor reste l'une des grandes figures du cinéma hindi et les chansons du film, comme par exemple celle interprétée par Mukesh Mes chaussures sont japonaises, font partie des grands moments du cinéma populaire hindi. Par ailleurs, la photographie en noir et blanc parfaitement maîtrisée au niveau des lumières apporte un esthétisme prodigieux digne des films d'Orson Welles dont certains spécialistes considèrent qu'il est l'alter-ego. Il en est de même pour le montage, les effets visuels et la mise en scène qui rappellent également au moment du climax les films de Frank Capra. Un chef-d'œuvre donc, à ne pas manquer.
Shree 420 de Raj Kapoor
1955 - 2h55 - VO hindi STF inédit
Distribution
Nargis : Vidya Omkarnath Shastri
Nadira : Maya
Raj Kapoor : Ranbir Raj / Raj Kumar of Pipli
Nemo : Seth Sonachand Dharmanand
Lalita Pawar : Ganga Mai
Hari Shivdasani : Philachand
Nana Palsikar : joueur
Bhudo Advani : joueur
Pesi Patel (Pessi Patel)
Rashid Khan : Radiwala
Sheelavaz (Sheila Vaaz)
Ramesh Sinha
M. Kumar
S.P. Berry
Kathana
Équipe technique
Raj Kapoor : producteur
Jaikishan Dayabhai Pankal (Jaikishan) : musique
Shankarsinh Raghuwanshi (Shankar) : musique
Radhu Karmakar : image
G.G. Mayekar : montage
M.R. Achrekar : direction artistique
K. Damodar : décorateur
Chanteurs playback : Lata Mangeshkar, Asha Bhosle, Mukesh
Ichak Dana Beechak Dana
Pyar Hua Iqrar Hua
Mera Joota Hai Japani
Repris du livre Q&A de Vika Swarup Slumdog Millionaire sorti sous le titre français de Les fabuleuses aventures d'un Indien malchanceux qui devint milliardaire, ce film de Danny Boyle est une super production à l'image même de cette histoire extraordinaire de Jamal Malik, 18 ans, orphelin vivant dans les taudis (slums) de Mumbai, sur le point de remporter la somme colossale de 20 millions de roupies lors de la version indienne de l’émission Qui veut gagner des millions ?. Il n’est plus qu’à une question de la victoire lorsque la police l’arrête sur un soupçon de tricherie...
Synopsis
Chanteur en mal de célébrité, Deven Yuvvraaj (Salman Khan) signe un pacte avec le père de sa petite amie Anoushka (Katrina Kaif), le Dr. Banton (Boman Irani) pour devenir riche en 40 jours. Pour atteindre cet objectif, Deven entre en compétition avec ses deux frères Gyanesh Yuvvraaj (Anil Kapoor) et Danny Yuvvraaj (Zayed Khan) qu'il retrouve après douze ans d'absence. Mais il n'a plus rien en commun avec eux et la lutte sera sans pitié pour la conquête du titre de prince (yuvvraaj) de la chanson. Une film magnifique qui nous entraîne dans un fantastique tourbillon musical dont seuls le réalisateur Subhash Ghai et le musicien AR Rahman ont le secret...
Comédie dramatique - 2h39 - VO Hindi STF
Sortie mondiale le 21 novembre 2008
Distribution
Salman Khan : Deven Yuvvraaj
Anil Kapoor : Gyanesh Yuvvraaj
Zayed Khan : Danny Yuvvraaj
Katrina Kaif : Anushka
Mithun Chakraborty : Apparition spéciale
Aushima Sawhney
Equipe technique
Un film Mukta Mainstream films
Subhash Ghai : Réalisateur
Subhash Ghai : Producteur
Shamira Khan : Producteur exécutif
Kabir Lal : Images
Omung Kumar : Directeur artistique
Subhash Ghia, Sachin Bhomik, Kamlesh Pandey : Dialogues
AR Rahman : Musique
Gulzar : Chansons
Chinni & Rekha Prakash, Saimak Davar, Ahmed Khan : Chorégraphie
Rakesh Ranjan : Ingénieur du son
Fiction de Ashutosh Gowariker, 2001, 3h44’, VO hindi/bhojpuri/anglais STF
Dans la région de Champaner, dans l’Inde coloniale à la fin du XIXème siècle, le capitaine Andrew Russels oppresse la population de taxes (lagaan). Le Raja soucieux de son peuple lui demande de les alléger, mais le capitaine Russels ne cesse de l’humilier. Une terrible sécheresse rend les impôts encore plus lourds. Bhuvan, un simple paysan, défie alors le capitaine anglais qui promet d’annuler les taxes si le village le bat au cricket. Un incroyable match se prépare. Grand prix du public au Festival de Locarno en 2001, deuxième film indien nommé aux Oscars en 2002, Lagaan permit au public occidental de découvrir le réalisateur Ashutosh Gowariker et la forme Bollywood du cinéma indien. Musique de A. R. Rahman, paroles de Javed Akhtar, avec Aamir Khan dans le rôle principal.
Équipe technique
Ashutosh Gowariker : Réalisateur
Kumar Dave, Sanjay Dayma, Ashutosh Gowariker : Scénario
K.P. Saxena : Dialogues
Anil Mehta : Image
Ballu Saluja : Montage
A.R. Rahman : Musique
Bhanu Athaiya : Costume
Uma Da Cunha & Danielle Roffe : Casting
Nitin Chandrakant Desai : Décors
Reena Datta : Producteur exécutif
Aamir Khan : Producteur
Distribution
Aamir Khan : Bhuvan
Gracy Singh : Gauri
Rachel Shelley : Elizabeth Russell
Paul Blackthorne : Captain Andrew Russell
Suhasini Mulay : Yashodamai
Kulbhushan Kharbanda : Rajah Puran Singh
Raghuvir Yadav (Raghuveer Yadav) : Bhura
Rajendra Gupta : Mukhiya
Rajesh Vivek : Guran
Shri Vallabh Vyas (Sri Vallabh Vyas) : Ishwar
Javed Khan : Ram Singh
Rajendranath Zutshi (Raj Zutshi) : Ismail
Akhilendra Mishra : Arjan
Daya Shankar Pandey : Goli
Yashpal Sharma : Lakha
Amitabh Bachchan : Narrateur
Ce film d'Adoor Gopalakrishnan et Brigitte Chataignier sorti le 8 octobre, nous entraîne dans l’univers raffiné du Mohini Attam, cette danse du Kerala, en Inde du Sud, pratiquée exclusivement par des femmes. Nous suivons plusieurs maîtres livrant en alternance l’assise de leur art à leurs disciples, dans un échange profondément respectueux, mais aussi une jeune fille dont les sentiments se reflètent dans la traversée des danses, des chants et de la musique. Ce qui compte derrière le particulier et la vie, c’est ce qui accède à l’universel et à l’art. Au-delà de l’homme, se cache le dieu ; en la femme, l’héroïne. Nous avons le trailer ainsi que les salles de France où le film est, et sera, projeté...
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La Maison et le Monde, adaptation du roman de Rabindranath Tagore écrit en 1916, est le premier projet de film que Satyajit Ray ait envisagé de réaliser en 1948. Satyajit Ray abandonnera le projet lorsqu’un producteur lui demandera d’apporter des modifications dans son travail, sans savoir qu’il y reviendra trente-cinq ans plus tard. Enfant, Satyajit Ray a vu Tagore rendre visite à ses parents. Lui-même étudia la peinture et la musique à Santiniketan, l’université créée par Tagore. Il a consacré au poète un documentaire d’une heure, tourné trois de ses nouvelles réunies sous le titre Trois femmes, enfin adapté Charulata.
Une adaptation fidèle au roman
En portant à l’écran La Maison et le Monde, Satyajit Ray en a scrupuleusement conservé l’architecture : un palais au bord du Gange ; au centre de ce palais une femme : Bimala ; autour de ce palais, le monde. Mais le monde, à part deux ou trois scènes d’extérieur très brèves, nous ne le verrons guère qu’à travers les fenêtres de la maison : petits tableaux raffinés comme des estampes ou des miniatures d’autrefois. Car dans le roman, les récits entremêlés des trois protagonistes ne nous content guère que leurs conversations et leurs états d’âme. Et nous ne prenons connaissance des événements extérieurs qu’à travers ces conversations et ces états d’âme, c’est-à-dire par leur répercussion à l’intérieur de la maison et même à l’intérieur des êtres. La Maison et le Monde raconte l'histoire de trois personnages confrontés à l'émergence d’idées libérales et nationales en Inde. Il s'agit d'un discours à trois voix : Niknil, un maharadjah aux idées libérales, féru d'Occident, qui trouve sa voie dans la contemplation.
Bimala, son épouse à qui Niknil va permettre de s'émanciper, de quitter le cadre familial de la maison pour "découvrir le monde". Et enfin, Sandip, révolutionnaire hostile à la puissance anglaise et hébergé par Niknil, qui va tomber amoureux de Bimala. La résonance architecturale et géographique d’une telle distinction entre la maison et le monde se charge tout d’abord de réminiscences biographiques, aussi bien chez Ray que chez Tagore : "Il nous était interdit de sortir de l’enceinte de notre demeure, et même de pénétrer dans certaines pièces de la maison. De la nature, nous ne pouvions prendre quelques aperçus qu’au travers de nos barricades. Inaccessible, au loin, s’étendait cet espace sans limites, le dehors, dont par instant des reflets, des bruits, des parfums, pénétrant par des interstices, venaient me toucher. Ce dehors semblait me faire signe, m’inviter à venir jouer avec lui. Mais il était libre et moi, j’étais enfermé ; aucune rencontre entre nous n’était possible. L’attrait n’en était que plus poignant." (Souvenirs de Tagore écrit en 1912).
Les thèmes abordés dans l’œuvre
Si un pays colonisé a le droit -sinon le devoir- de revendiquer son autonomie, doit-il pour autant déifier la mère-patrie et se fermer à toute influence extérieure ? Non répond Nikhil, "Je suis prêt à servir mon pays. Mais je réserve mes adorations pour le Droit qui est bien plus grand que mon pays. Adorer son pays comme un dieu, c’est le vouer au malheur". De même, s’il est bon que la femme indienne puisse enfin échapper à l’esclavage domestique, sa liberté nouvelle lui fera courir le risque de retomber dans d’autres chaînes : celle de la passion. La beauté de La Maison et le Monde tient à l’imbrication subtile de ces deux thèmes, dont l’un est comme l’écho de l’autre. En effet l'écriture du roman colle au plus près des sentiments des trois protagonistes et la narration fait alterner le récit des trois personnages. Nous assistons à l'éveil des sentiments de Bimala qui découvre le monde après avoir été confinée dans la maison familiale. Alors que Sandip incarne la passion et l'action, Niknil, le mari, est un ascète platonicien qui prône la modération dans la lutte contre l'occupant anglais. D’ailleurs cette écriture de Tagore est brodée de métaphores imageant la folle passion de Sandip : rivière, volcan...Le lecteur est emporté par cette langue très sensuelle mais compatit à la souffrance du mari bafoué. Satyajit Ray, lui, a l’écran sublime les sentiments de l’individu, d’un couple : la pleine possession de la vie atteinte à l’heure du plus grand danger. Tagore brosse un magnifique portrait de femme qui s'émancipe au début du XXe siècle. Il porte une réflexion sur le rôle de la femme à la maison face aux réalités du monde et sur la résistance non violente. Le spectateur assiste au fil de l’histoire l’émancipation d’une femme recluse comme les autres et qui pourtant bouscule les traditions. Quant à la lutte contre l'occupation anglaise, elle est traitée tout en nuance. Le mari incarne la modération ; pour lui, la guerre ne peut qu'aboutir à des rixes entre différentes communautés. Il ne comprend pas non plus pourquoi on doit sacrifier l'individu aux intérêts d'un pays ; la patrie ne doit en aucun cas être idolâtrée. Pour Ray traiter des questions politiques en Inde était un désir profond : il le disait lui-même, "Cette réalité si poignante, elle ne demandait qu’à être traduite en langage cinématographique".
Titre bengali : Ghare-Baire
Titre français : La Maison et le monde
Titre anglais : Home and the World
Version originale en bengali
Année de sortie : 1984
Format : couleur
Durée : 2h20 (140')
Site officiel : www.films-sans-frontieres.fr/lamaisonetlemonde
Fiche technique
Réalisation : Satyajit Ray
Scénario : Satyajit Ray, d’après le roman La Maison et le Monde de Rabindranath Tagore
Photo : Soumendu Roy
Montage : Dulal Dutta
Décors : Ashoke Bose
Musique : Satyajit Ray
Son : Robin Sen Gupta, JyotiChatterjee, Anup Mukherjee
Une production National Film Development Corporation of India
Distribué par Films Sans Frontières
Distribution
Soumitra Chatterjee : Sandip
Victor Banerjee : Nikhil
Swatileelkha Chatterjee : Bimala
Gopa Aich : Belle-sœur de Nikhil
Jennifer Kapoor : Miss Gilby
Manoj Mitra : Le directeur de l’école
Indrapramit Roy : Amulya
Bimal Chatterjee : Kulada
Inspiré du roman éponyme de l'auteur bengali Tarasankar Bandyopadhyay (aussi Tarashankar Banerjee), Jalsaghar, en français Le salon de musique, est un film de 1958 de Satyajit Ray qui raconte le déclin d’un aristocrate, propriétaire terrien et mécène de la caste des zamindars. Imbu de la noblesse de ses origines, il sacrifie sa fortune et sa famille pour sa passion des arts en donnant des réceptions ruineuses dans son salon de musique. Ce film se distingue par d’excellentes séquences de danse et de musique classique hindoustanie, vocale et instrumentale.
Film en version originale bengalie sous-titré en français
Titre original hindi : Jalsaghar
Titre anglais : The Music Room
Titre français : Le salon de musique
Année de sortie : 1958
Durée : 1h40 (100')
Format : Noir & blanc
Équipe technique
Réalisateur : Satyajit Ray
Auteur : Tarasankar Bandyopadhyay (aussi Tarashankar Banerjee)
Scénario : Satyajit Ray
Musique : Ustad Vilayat Khan
Distribution
Chhabi Biswas : Huzur Biswambhar Roy
Padmadevi (Padma Devi) : Mahamaya, épouse de Roy
Pinaki Sengupta : Fils de Roy
Gangapada Basu : Mahim Ganguly
Tulsi Lahiri : Intendant de Roy
Kali Sarkar : Servante de Roy
Waheed Khan : Ustad Ujir Khan
Roshan Kumari : Krishna Bai, danceur
Au 16e siècle, l'Hindoustan est dominé par la dynastie des empereurs musulmans moghols. Le dernier héritier, Jalaluddin Muhammad Akbar, un farouche guerrier, multiplie les batailles pour repousser les frontières de l'empire. Afin d'unifier le territoire qui deviendra l’Inde, il consent à épouser Jodhaa, une princesse rajpoute hindoue... Après Lagaan et Swades, Ashutosh Gowariker réalise une nouvelle fresque épique, inspirée de l’histoire du véritable empereur Akbar. Sublimé par une photographie flamboyante, Jodhaa Akbar est autant un splendide conte indien qu’une formidable reconstitution historique, tournée dans les décors naturels grandioses du Rajasthan. Les stars Aishwarya Rai (Devdas) et Hrithik Roshan (La Famille indienne) interprètent magnifiquement cette histoire d’amour hors normes, l’élevant au rang de chef-d’œuvre du cinéma Bollywood.
Ashutosh Gowariker s’est entouré d’une équipe de chercheurs et d’historiens de New Delhi, Agra ou encore Jaipur, pour illustrer l’une des pages les plus grandioses de l’Histoire indienne. S’inspirant des immenses épopées de l’âge d’or du cinéma hollywoodien, Jodhaa Akbar est un spectacle total mêlant drame, romance, combats et danses. Le tournage dura près d’un an et nécessita plus d’un millier de danseurs en costumes traditionnels, une centaine de chevaux, 80 éléphants, 55 chameaux, et plus de 400 kilos de bijoux en or. La partition composée par A. R. Rahman (Lagaan, Guru) confère un charme envoûtant à cette fresque aux décors grandioses, aux chorégraphies effrénées, aux couleurs somptueuses, et aux sentiments déchaînés.
Hritihik Roshan est Jalaluddin Akbar
L’un des plus célèbres acteurs indiens, Hrithik Roshan (La Famille indienne) livre ici l’une de ses performances les plus puissantes. À la fois souverain, amant, épéiste et guerrier (il livre un combat à mains nues contre un éléphant), le personnage de l’empereur Akbar donne à Roshan la possibilité d’explorer une multitude de registres dramatiques. L’acteur fait honneur à la figure mythique d’Akbar, resté dans l’histoire de l’Inde comme le monarque qui s’est ouvert à la religion et la culture hindoues, contre l’avis de ses aïeuls, afin d’unir l’Hindoustan sous une même bannière.
Aishwarya Rai est Jodhaa Bai
Immense star internationale, la sublime Aishwarya Rai (Devdas) illumine de sa beauté et de ses bijoux étincelants ce chef-d’oeuvre. Elle joue le rôle de la princesse rajpoute Jodhaa, mariée contre son gré à l’empereur moghol pour sauvegarder la sécurité de son royaume mais qui, petit à petit, va en tomber amoureuse. Disciple de Shiva, elle impose à l’empereur de lui offrir un temple au sein du palais et favorise son ouverture aux traditions hindoues. De ce fait, la princesse Jodhaa Bai incarne une figure clé de l’histoire de l’Inde, bien que son rôle précis fasse encore débat chez les historiens.
Distribution
Hrithik Roshan : Jalaluddin Muhammad Akbar
Aishwarya Rai Bachchan : Jodha Bai
Kulbhushan Kharbanda : Raja Bharmal
Sonu Sood : Rajkumar Sujamal
Suhasini Mulay : Rani Padmawati
Shaji Choudhary : Adham Khan
Punam S Sinha : Mallika Hamida Banu
Digvijay Purohit : Rajkumar Bhagwan Das
Pradeep Sharma : Sheikh Mubarak
Rajiv Sehgal : Raja Viraat
Gurmmeet Singh : Raja Shundi
Balraj : Raja Balraj Singh
Yuri : Bairam Khan
Disha Vakani : Madhavi
Indrajeet Sarkar : Maheshdas/ Birbal
Sudhanshu Singh : Raja Shimalgarh
Nikitin Dheer : Sharifuddin Hussain
Rajesh Vivek : Chugtai Khan
Surendra Pal : Rana Uday Singh
Fiche technique
Réalisateur : Ashutosh Gowariker
Producteurs : Ronnie Screwvala & Ashutosh Gowariker
Scénario : Haidar Ali, Ashutosh Gowariker & K.P.Saxena
Musique : A. R. Rahman
Images : Kiran Deohans
Montage : Ballu Saluja
Distribué par UTV Motion Pictures
Date de sortie : 15/02/2008
Longueur en VO : 213 minutes
Langage Hindi & Ourdou
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