Depuis 2006, par tranches successives, la totalité des archives du musée (photographies, films, archives textes et photographies du matériel ou du mobilier ayant appartenu à Albert Kahn) est numérisée et mise en accès dans le système multimédia FAKIR (Fonds Albert-Kahn Informatisé pour la Recherche). Cet outil de consultation est décliné en deux versions : l’une, conçue comme une exposition permanente interactive, est destinée aux visiteurs du musée, l’autre, véritable noyau de données multimédia, est destinée aux chercheurs et aux professionnels de l’image.
Le 4 avril, le musée Guimet appliquera la nouvelle politique gouvernementale de l’accès gratuit aux collections permanentes pour les jeunes ressortissants de moins de 26 ans de l’Union européenne. L’entrée libre pour les moins de 26 ans devrait rendre accessible à un plus jeune public une culture jugée complexe. La nouveauté cependant est ailleurs : dès le 4 avril, elle sort des frontières et s’ouvre désormais aux ressortissants de l’Union européenne…Marquant l’événement, le musée Guimet se métamorphosera le temps d’une journée, l’occasion pour un grand nombre de nouveaux visiteurs de découvrir les collections et les civilisations asiatiques, leur histoire et leur beauté universelle...
Lire la suite : Musée Guimet gratuit pour les moins de 26 ans !
Dans le cadre des journées du Patrimoine instaurées par Jack Lang il y a une vingtaine d'année, le musée Albert Khan vous propose un package de tout premier ordre décomposé comme suit : une exposition-promenade à travers le patrimoine bâti et arboré du site, des visites guidées des jardins, la projection d'un film documentaire sur Albert Kahn et, bien entendu, la possibilité de visiter l'exposition Infiniment Indes, déjà plébiscitée par plus de 25.000 visiteurs ! Et si l'on vous dit que l'entrée est gratuite pendant les deux jours vous faites quoi ?...
Lire la suite : Les journées du Patrimoine au musée Albert Kahn
Le musée Guimet
Le musée Guimet est né du grand projet d’un industriel lyonnais, Émile Guimet (1836-1918), de créer un musée des religions de l’Égypte, de l’antiquité classique et des pays d’Asie. Des voyages en Égypte, en Grèce, puis un tour du monde en 1876, avec des étapes au Japon, en Chine et en Inde lui permirent de réunir d’importantes collections qu’il présenta à Lyon à partir de 1879. Il devait par la suite transférer ses collections dans un musée qu’il fit construire à Paris et qui fut inauguré en 1889. Du vivant même d’Emile Guimet cette institution se consacra de plus en plus à l’Asie, tout en conservant une section sur les religions de l’ancienne Égypte, à la suite des expéditions dans diverses régions de l’Extrême-Orient.
Les voyages de Louis Delaporte au Siam et au Cambodge avaient déjà permis de réunir une collection d’art khmer formant le noyau du musée ndochinois du Trocadéro, fondé dès 1882. À la fin du XIXe siècle, le musée du Louvre, de son côté, consacre une section aux arts d’Asie, principalement de Chine et du Japon, dans son département des objets d’arts, qui deviendra par la suite le département des arts asiatiques. Émile Guimet lui-même restreint de plus en plus la place accordée aux religions de l’antiquité pour présenter les objets rapportés de Corée par Charles Varat. Des séries d’iconographies religieuses sont retirées pour faire place en 1912 aux collections d’art tibétain que Jacques Bacot a réunies au cours de ses missions.
En 1927, le musée Guimet est rattaché à la Direction des musées de France et accueille d’importantes collections rapportées par les grandes expéditions en Asie centrale et en Chine, comme celles de Paul Pelliot ou d’Édouard Chavannes. Il reçoit aussi à partir de 1927 les oeuvres originales du musée Indochinois du Trocadéro. Tout au long des années 20 et des années 30 arrivent également des riches dépôts de la Délégation Archéologique Française en Afghanistan. Le directeur du musée de l’époque, Joseph Hackin, qui dirige aussi les fouilles d’Afghanistan réalise de grands travaux dont la couverture de la cour centrale pour y présenter à partir de 1938 une partie des collections khmères. Le musée Guimet devient alors célèbre pour la richesse de ses collections dans le domaine du monde indianisé.
À partir de 1945 dans le cadre d’une vaste réorganisation des collections nationales, le musée Guimet envoie au Louvre ses pièces égyptiennes et reçoit en retour l’ensemble des oeuvres du département des arts asiatiques du Louvre. Dès lors l’institution de la place d’Iéna devient l’un des tout premiers musées d’arts de l’Asie dans le monde, sous la direction jusqu’en 1953 de René Grousset qui a succédé à Joseph Hackin, mort en 1941 en compagnie de son épouse au service de la France libre. Philippe Stern, grand spécialiste de l’art du Cambodge ancien, qui dirige le musée de 1954 à 1965, s’attache beaucoup aux activités savantes du musée, à la bibliothèque et surtout aux archives photos. Jeannine Auboyer qui succède en 1965 à Philippe Stern, veille tout particulièrement à l’enrichissement des collections dans le domaine de l’Inde classique. Elle entreprend à la fin des années 60 d’importants travaux pour doter le bâtiment d’espaces de bureaux et de réserves. Une nouvelle muséologie, dégagée des décors néoclassiques d’origine, est mise en place au cours des années 70. En 1986, Jean-François Jarrige, un spécialiste de l’archéologie ancienne du sous-continent indo-pakistanais, succède au sinologue, Vadime Elisseeff, qui, après avoir assuré pendant de longues années, la direction du musée Cernuschi, a été nommé à la tête du musée Guimet en 1982. En 1991, avec l’aide du regretté Bernard Frank, professeur de civilisation japonaise au Collège de France, le musée Guimet ouvre, dans un bâtiment annexe, au 19, avenue d’Iéna, le Panthéon bouddhique, présentant une partie des collections rapportées du Japon par Emile Guimet. Cet événement s’inscrit dans toute une politique destinée, dans la suite des efforts de prédécesseurs illustres, à assurer l’essor d’une institution à la fois savante mais aussi tournée vers un public de plus en plus nombreux à s’intéresser aux civilisations asiatiques. De généreux donateurs dont on retrouve le nom dans le hall d’entrée s’associent à la politique d’enrichissement du musée qui bénéficie aussi des fonds d’acquisition des musées de France.
Le vaste programme de rénovation général du musée Guimet, décidé en 1993 et mis en place à partir de 1996, qui vient de prendre fin, a pour but de permettre à l’institution fondée par Emile Guimet de s’affirmer de plus en plus comme un grand centre de la connaissance des civilisations asiatiques au coeur de l’Europe, dans la suite des efforts de nos prédécesseurs, mais tenant compte aussi des progrès de la muséologie et des besoins nouveaux pour la présentation et la conservation des oeuvres. Les architectes, Henri et Bruno Gaudin, et l’équipe de conservation ont donné la priorité à la lumière du jour et la création de perspectives ouvertes dans les 5500m2 de galeries permanentes. Ces grands espaces permettent aux visiteurs de mieux comprendre les relations et les différences entre les diverses traditions artistiques de l’Asie, et d’assurer une visite agréable dans des espaces calmes et ouverts. Avec cette grande campagne de travaux, le musée Guimet vient donc de connaître la plus complète restructuration de ses espaces intérieurs depuis l’époque de sa fondation.
En dehors de ses extraordinaires collection, le musée Guimet offre aussi une bibliothèque orientaliste et un auditorium de 280 places qui propose concerts, colloques, conférences et projections (voir plus bas).
Informations pratiques
Musée national des Arts asiatiques-Guimet
6 place d’Iéna - 75016 Paris
Métro : Boissière ou Iéna
Internet museeguimet.fr
Tél. 01 56 52 53 00 Ouverture
Tous les jours sauf le mardi, de 10 à 18h
Fermeture de la caisse à 17h15
Fermeture des salles à 17h45
La bibliothèque du musée Guimet
Organisée dès l’ouverture du musée en 1889, est aujourd’hui spécialisée dans les arts anciens et l’archéologie de l’Asie orientale et extrême-orientale. Ses collections, constituées de livres et de revues en toute langue, tant européenne qu’asiatique, dépassent les 100 000 volumes et comptent 1.500 titres de périodiques. Ceux-ci sont en partie répertoriés au catalogue du Système universitaire de documentation. Le musée ayant été à l’origine un musée de l’histoire des religions, la bibliothèque conserve de ce passé un fonds important sur les religions orientales, spécialement sur le bouddhisme. Les nouvelles acquisitions (depuis 2001) sont enregistrées dans le Catalogue collectif des bibliothèques des musées nationaux.
A côté des livres européens anciens (XVIIe-XVIIIe siècle) existent des fonds particuliers tels qu’un ensemble de livres illustrés japonais de l’époque Edo (700 titres), des ouvrages tibétains (plus de 2 000 dont la bibliothèque d’Alexandra David-Neel), des cartes chinoises du temps des Qing (collection Arnold Vissière), des textes ourdous (provenant de Garcin de Tassy), des fragments de manuscrits ouïgours, des papiers d’orientalistes (A. Barth, E. Chavannes, R. Ghirshman, P. Pelliot, etc.).
La bibliothèque est ouverte les lundi, mercredi, jeudi, vendredi et samedi de 10h00 à 17h00. (La bibliothèque est fermée les samedis pendant les vacances scolaires de l’académie de Paris.)
Accès gratuit. Consultation sur place uniquement
Pour vos recherches d’ouvrages, consulter le Catalogue collectif des bibliothèques des musées nationaux
Plus d'informations
Tél. 01 56 52 53 01
Email biblio@guimet.fr
L'auditorium du musée Guimet
Intégré à l’architecture du musée Guimet rénové, l’auditorium du Musée national des arts asiatiques propose désormais au public, une programmation régulière. Les 280 places de la salle en font un espace à la fois confortable et intime. Sa conception technique permet aux programmateurs de répondre à des objectifs de diversité et de qualité. Les grands principes de la programmation révèlent avant tout un souci de cohérence avec l’activité de l’établissement. C’est ainsi que de nombreuses manifestations : cycles de films, conférences, colloques, s’affirment comme un complément ou une mise en relief des expositions temporaires, des donations ou des acquisitions. Le tout est construit comme recherche constante d’un équilibre entre la richesse scientifique des interventions et la fonction pédagogique que peut jouer ce type de programme. Cohérence aussi avec la spécificité des origines : l’Asie est toujours présente, fil conducteur des spectacles proposés par l’équipe de l’auditorium, concerts de musique acoustique, danse, théâtre, marionnettes, théâtre d’ombre. La création asiatique contemporaine n’est pas oubliée, notamment dans la relation qu’elle entretient avec la tradition. Certains spectacles sont créés en résidence.
L’auditorium s’attache enfin à projeter régulièrement des films en avant-première. Le printemps 2002 avait montré les signes avant-coureurs d’une ouverture régulière de la salle avec les premiers concerts de musiciens afghans et tadjiks et la série de documentaires consacrés à l’Afghanistan. Cette ouverture s’est confirmé en décembre 2002 avec les manifestations d’un premier programme trimestriel intitulé « Toit du Monde » et dédié au Tibet au bouddhisme Tibétain, aux peuples et religions de l’Himalaya. Ce sont, non seulement, de nombreux films et conférences qui ont évoqué les hauts plateaux du Népal ou du Tibet, mais aussi des chanteurs et danseurs nés là-bas, tel Tenzin Gönpo et sa "légende du prince chasseur". L’Himalaya ne fut cependant pas seul à l’honneur. Le Barhatta Natyam, danse sacrée de l’Inde carnatique, et la danseuse Priyadarshini Govind ont marqué l’ouverture de ce cycle et le premier grand succès de la programmation, tandis qu’un spectacle butô des chorégraphes Misuyo Uesugi et Cécile Loyer inaugurait la première création en résidence.
Plus d'informations
Tél. 01 40 73 88 18
Fax 01 40 73 88 11
Email auditorium@guimet.fr
Documents en open data concernant le musée Guimet
Un premier bilan de l'opération gratuité de certains musées démarrée en janvier 2008 et qui s'est terminée le 30 juin affiche des résultats contrastés. Le coût de l'opération est évalué à 2.2M€ et certains musées ont tiré leur épingle du jeu avec des fréquentations en nette hausse alors que d'autres, comme le musée Guimet ou celui du Quai Branly, estiment que la gratuité n'a pas attiré un nouveau public pour profiter quasi exclusivement aux habitués qui ont trouvé là, une opportunité pour revenir plus souvent.
C'est de toute l'Europe que les emails de participation au tirage au sort pour les places au musée Grévin nous sont arrivées et c'est après l'intervention d'une main pure et innocente, que les heureux bénéficiaires des deux entrées VIP ainsi que ceux des 30 places ont été choisis. Félicitations à nos heureux gagnants et encore merci au musée Grévin pour cette chance offerte aux amoureux de Bollywood de rencontrer enfin SRK en chair et en cire !....
Le Musée Grévin
Une idée inédite pour plus
d’un siècle de divertissement
À la fin du 19ème siècle, Arthur Meyer, journaliste et fondateur du célèbre quotidien Le Gaulois, a l’idée de présenter à ses contemporains les personnalités qui font la une de son journal, en trois dimensions cette fois. A une époque où la photographie n’est pas encore utilisée par la presse, il imagine la création d’un lieu où le public pourrait enfin “mettre un visage” sur les personnalités qui font l’actualité.
Alfred Grévin, dessinateur, sculpteur et créateur de costumes de théâtre. |
Pour mener à bien ce projet original, il fait appel à Alfred Grévin. À la fois dessinateur humoristique, créateur de costumes de théâtre et sculpteur, ce dernier s’investit totalement dans le projet, jusqu’à lui donner son nom. Lorsque Grévin ouvre ses portes le 5 juin 1882, le succès est immédiat ! En 1883, Gabriel Thomas, un grand financier à l’origine de la société d’Exploitation de la Tour Eiffel et du théâtre des Champs Elysées, assure à Grévin une structure économique lui permettant de se développer rapidement. Il enrichit ainsi le site de nouveaux décors qui constituent aujourd’hui un précieux patrimoine, tels que le Théâtre Grévin classé à l’Inventaire des Monuments Historiques ou encore le Palais des Mirages datant de l’Exposition Universelle de 1900. Entrée du musée vers 1885
Plus d’un siècle après et fidèle à l’esprit de ses trois pères fondateurs, ce lieu unique en son genre offre toujours au public l’incroyable opportunité de “toucher des yeux” les célébrités qui font l’actualité.
Quelques repères…
• 5 juin 1882 : Grévin ouvre ses portes…
c’est parti pour plus d’un siècle de succès et l’Histoire continue !
• 1892 : projection du premier dessin animé du monde “Pauvre Pierrot” grâce
à l’invention d’Emile Reynaud : le théâtre optique
• 1900 et 1907 : Grévin s’enrichit de nouveaux décors : le théâtre à l’italienne et le Palais des Mirages
• Mai 1999 : Grévin entre dans le Groupe Grévin & Cie, à la suite d’une OPE
• Janvier 2001 : l’Académie Grévin est constituée ; sous la présidence de Bernard Pivot, 11 académiciens désignent l’heureux(se) élu(e) à partir d’une sélection proposée par Grévin
• Juin 2001 : entièrement rénové, le site propose un nouveau circuit de visite, moderne et interactif (investissement total : 8 millions d’euros)
• Décembre 2002 : Henri Salvador est le tout premier personnage sonorisé ! Il rit dès qu’un visiteur passe devant lui
• Avril 2003 : Grévin reçoit le Grand Prix du Tourisme 2003, qui récompense le meilleur équipement touristique adapté à l’accueil des personnes handicapées
• Plus de 2000 personnalités de cire se sont succédées depuis l’ouverture. Près de 300 célébrités résident actuellement à Grévin et plusieurs centaines dorment dans des réserves situées près de Paris
Secrets de cire Quelques repères…
De la sculpture au costume, voici dévoilés tous les secrets de réalisation d’un personnage de cire.
• De la sculpture au costume, près de 15 spécialistes sont mobilisés
• 500 000 cheveux naturels (environ 200g) sont implantés par tête
• 130 litres de laque et de gel par an sont nécessaires pour la mise en beauté des 300 cires
• 15kg de plâtre pour une tête et 2kg pour une main
• 100kg de cire par an
• 70 tubes de peinture à l’huile pour le maquillage
Beaucoup d’art dans un monde de cire…
Tout commence par la sculpture ; le sculpteur rencontre la personnalité dont il va modeler le visage et le corps en terre glaise, d’après les photographies et les mesures prises. Puis, vient l’étape du moulage ; élastomère et plâtre enveloppent la sculpture de glaise, puis dans cette empreinte est coulée la cire…
Pour lui donner les couleurs de la vie, le visage est maquillé à la peinture à l’huile ; de vrais cheveux sont implantés presque un à un, puis coiffés et des yeux de verre donnent au regard cette si troublante expression.
Enfin, le vêtement, souvent offert par l’heureux élu, apporte la touche finale à cette ressemblance hyperréaliste. Des recherches méticuleuses sont nécessaires aux costumes historiques pour le choix des tissus, des coupes de l’époque, des bijoux ou parures portés.
Pourquoi des célébrités “croquées” en cire ?
L’art délicat de la cire est remis au goût du jour par Arthur Meyer avec l’ouverture de Grévin à la fin du 19ème siècle. C’est de la cire naturelle d’abeille qui est utilisée, car sa texture se rapproche étonnamment de l’aspect de la peau humaine et conserve sa forme au fil des ans, sans se rétracter ni changer de couleur.
Comment la cire est-elle travaillée ?
Toujours travaillée à Grévin, la cire est un matériau à manipuler avec doigté ; une température de coulage trop élevée risque par exemple de la faire se figer trop vite. Et pourtant, en cas de malfaçon de la tête, rien de plus simple que de la refondre à nouveau jusqu’à l’obtention d’un résultat parfait ! Grévin est une école d’apprentissage unique.
Les cires de Grévin auraient-elles des ancêtres ?
L’emploi de la cire remonte à la nuit des temps ; jadis, dans l’ancienne Egypte et l’Antiquité romaine, on apaisait le peuple éploré en lui présentant l’effigie de cire de son défunt roi. Son expression à jamais préservée, il avait ainsi l’air paisiblement endormi... faisant fi de la disparition de son corps de simple mortel.
Que ressentent les visiteurs ?
La ressemblance est saisissante. Est-ce la personnalité réelle ou alors son double de cire ? Grévin s’enorgueillit d’entretenir la confusion dans ce jeu de trompe-l’oeil… en toute complicité avec les célébrités qui sont venues poser dans ses ateliers. Attiré, hypnotisé, le public s’attarde alors à sonder cette étincelle de vie qui pétille au fond de chaque regard de ces êtres de cire. S’aventurera-t-il à demander un autographe ?
Quelles sont les impressions des célébrités ?
Troublées, les personnalités le sont aussi ; l’attitude, les traits du visage ou la tenue vestimentaire sont à ce point étonnants de vérité qu’à l’occasion de l’inauguration de sa cire, Lorie a déclaré qu’elle était heureuse d’avoir enfin une sœur jumelle. Quant aux petits enfants de Jean Gabin ils ont eu l’impression de retrouver leur grand-père en chair et en os, lorsqu’ils ont approché sa cire en 2001.
Musée Grévin
10 boulevard Montmartre - 75009 Paris
Métro Grands Boulevards
Bus 20.39.48.67.74.85
Tél. 01 47 70 85 05
www.grevin.com
{mosmap width='460'|height='350'|lat='48.871663'|lon='2.342009'|zoomNew='0'|mapType='Map'|showMaptype='1'|overview='0'|tooltip='Grevin'|marker='1'|align='center'}Carte intégrée - Vous pouvez la déplacer à l'aide de votre souris, mais aussi changer le zoom, et le type de vue (carte, satellite ou mixte)
Pour permettre un plus grand accès aux musées français, le ministère de la Culture teste, pour une période de six mois, l'accès gratuit aux collections permanentes de différents musées de Paris et de Province. Les musées préférés des indianistes, à savoir Guimet et Quai Branly, font partie de cette mesure suivant des conditions et des horaires que nous avons compilés pour vous...